Mycophénolate : l’ANSM rappelle les conditions de sa prescription et de sa délivrance
car son utilisation pendant la grossesse persiste.
Compte-tenu du risque accru de malformations congénitales en cas d’exposition pendant la grossesse, cet immunosuppresseur est contre-indiqué pendant la grossesse et chez les femmes susceptibles de procréer qui n’utilisent pas de méthode contraceptive efficace.