LA RECHERCHE FINANCEE PAR L’AIRG-FRANCE

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Soutenir la recherche pour faire reculer la maladie

Processus du choix des projets

  • Appel à projets de l’AIRG avec lettre d’intention des candidats ainsi que la somme allouée, par année, qui est votée en amont lors du Conseil d’Administration de l’association

« Les projets seront évalués par un jury choisi par le Conseil scientifique de l’AIRG-France, qui pourra faire appel à tout expert international, sollicité pour sa capacité à apprécier la qualité du projet, sa pertinence dans le contexte international, et l’adéquation entre la demande financière et les travaux proposés.

Les recommandations du jury seront transmises au Conseil d’Administration de l’AIRG-France, qui décidera de l’attribution finale et du montant des subventions.

Les résultats seront communiqués aux candidats lors de notre Journée Annuelle  »

  • Lecture et aide au choix éclairé par le comité scientifique
  • Validation des projets de recherche retenus par le Conseil d’Administration avec somme octroyée

2018 : 3 projets retenus pour 80 000 euros financés

  • 50 000 euros sur la PKD piloté par le Pr Emilie LE CORNEC-LE GALL (CHU Brest) intitulé GENOVAS PKD dont le travail portait sur la recherche de facteurs génétiques associés au développement d’anévrysmes vasculaires dans la PKD.
  • 15 000 euros sur le SHUa piloté par le Dr Marie FRIMAT (CHULille) sur le rôle des glycosaminoglycanes du glycocalyx endothélial glomérulaire dans la physiopathologie du SHUa.
  • 15 000 euros sur le SHUa piloté par le Dr Véronique FREMEAUX-BACCHI (l’AP-HP Paris) et nommé : SHUa vers une identification personnalisée des facteurs de risque génétique.

2019 : 2 projets retenus pour 60 000 euros financés

  • 20 000 euros pour le Syndrome d’Alport piloté par le Dr Oliver Gross (Göttingen) sur une initiative internationale d’approbation du traitement par Ramipril (traitement contre l’hypertension artérielle)chez les enfants avec des stades précoces de la maladie.
  • 40 000 euros pour le syndrome d’Alport piloté par le Dr Fabiola TERZI (Inserm Paris) sur une approche des biomarqueurs et sur une nouvelle stratégie à visée thérapeutique.

2020 : 4 projets retenus pour 140 000 euros financés

  • 50 000 euros pour le projet piloté par le DR Justine BACCHETA (Lyon) sur les mécanismes physiologiques de l’atteinte osseuse de la Cystinose.
  • 50 000 euros pour le projet piloté par le Dr Joost Schanstra (Toulouse) sur les marqueurs non invasifs pronostiques de la dysfonction rénale chez les patients porteurs d’un syndrome d’Alport
  • 20 000 euros pour le projet piloté par le Dr Khalil EL KARAOUI (Créteil H. Mondor) sur les facteurs génétiques associés aux hypertensions malignes avec syndrome hémolytique et urémique.
  • 20 000 euros pour le projet piloté par le Dr Stéphane LOURDEL (Paris -HEGP) sur l’évaluation non invasive de la progression de la maladie de Dent à l’aide d’un marqueur urinaire retrouvé chez un modèle de souris transgénique.

2021 : 4 projets retenus pour 100 000 euros financés

  • 30 000 euros pour le projet financé par le Dr Guillaume DORVAL (Necker) pour son travail sur les néphropathies héréditaires monogéniques : à la recherche des mutations manquantes dans des régions introniques.
  • 30 000 euros pour le projet piloté par le Dr François GLOWACKI (CHU de Lille) pour son travail sur le ciblage thérapeutique du long ARN non codant DNM3OS pour le traitement du syndrome d’Alport.
  • 20 000 euros pour le projet piloté par le Dr Dominique GUERROT (CHU Rouen) sur le Nano PKD et développement d’une formulation orale innovante d’un agoniste dopaminergique pour la prise en charge thérapeutique des patients atteints de PKD.
  • 20 000 euros pour le projet piloté par le Dr Franck BIENAIME (Inserm Necker) pour son travail sur l’utilisation des biomarqueurs urinaires pour la prédiction précoce de la vitesse de déclin de la fonction rénale chez les patients atteints de PKD.

En 4 ans